« Qu’est-ce qui vous surprend le plus dans l’humanité? »
Il a répondu
« Les hommes…Parce qu’ils perdent la santé pour accumuler de l’argent, ensuite ils perdent de l’argent pour retrouver la santé.
Et à penser anxieusement au futur, ils oublient le présent de telle sorte qu’ils finissent par non vivre ni le présent ni le futur.
Il vivent comme si ils n’allait jamais mourir…
…Et meurent comme si ils n’avaient jamais vécu. »
Coucou la cousine !
Ah ! c’est un sage cet homme là .
Mais comment faut-il faire pour vivre ?
Bonne soirée bizoux Françoise !
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C’est de la SAGESSE PURE ET SIMPLE. Les gents aiment trop l’argent, et pas les choses simples de la vie que sont celles qui ont de la veritable valeur.
Amities MARU
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Quelle belle question tu poses là Françoise.
Ces jours-ci « vivre » c’est admirer, contempler, s’émerveiller en regardant la nature qui revêt un peu plus chaque jour son manteau aux couleurs flamboyantes. Un décor à couper le souffle.
Je renvois ta question à ceux et celles qui nous lisent.
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Chère Pierrette je suis tout à fait d’accord avec toi , regarder , écouter , observer la nature en toutes saisons c’est surement un grand bonheur loin de toutes ces considérations financières . C’est surtout un excellent moyen de garder le moral et d’exprimer sa joie de vivre et son amour de la vie sous toutes ses formes .
Bises de Normandie
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Je reconnais ces feuilles d’or et de pourpre que j’avais tant admiré lors de mon voyage au Canada
Quelles paroles profondes et vraies, la sagesse ? mais qui la pratique tout au long de la vie
Bisous Pierrette profite bien de ton automne si merveilleux
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Très belle pensée du dalai lama.
Merci pierrette pour ton passage c hez moi.
je te souhaite une bonne fin de journée
Anita.
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On a demandé à Daniel…
» Qu’est ce qui te surprend le plus dans les religions ? »
Il a répondu :
» Les religieux…. Parce qu’ils perdent la raison pour
accumuler le savoir, ensuite ils perdent le savoir
pour retrouver la raison.
Et à penser sans cesse au Paradis ou à l’Eveil
ils en oublient de s’éveiller de telle sorte qu’ils finissent
par ne vivre le présent qu’en rêvant du futur.
Ils vivent dans la certitude, comme tous les religieux…
…..Et ils meurent dans l’incertitude, comme tous les hommes.
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