UNE JOLIE SUGGESTION DE CADEAU

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Au Jour de l’An, j’ai reçu de mes amis invités à célébrer la nouvelle année,  un magnifique panier dans lequel on avait glissé : petits pots de confiture , « sucre à la crème », un repas pour deux de ragoût emballé sous vide, une invitation à un dîner d’amis et,  pour couronner le tout, cet arrangement décoratif composé de têtes d’ail, de branches de feuilles de laurier, de thym et de piments forts jugé digne d’être admiré.

Merci, mille mercis les amis et revenez souvent 1-L1040534.JPG

 

CES RENDEZ-VOUS À NE PAS MANQUER

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D’une génération à l’autre, la cuisine est le port d’attache et c’est merveilleux.

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Joyeux anniversaire Patrick!

Souffle jeune homme tes 49 ans. Il faut les éteindre d’un coup! 2-L1040605.JPG

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Même sans chandelles, les gâteaux de Iseult et de Fiona sont tellement meilleurs et plus jolis.

À vous tous qui prenez le temps de me visiter, je vous souhaite un weekend débordant de petits bonheurs et vous rappelle que ce petit clin-d’oeil me fait toujours chaud au cœur.


L’ÉRABLE À SUCRE

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Bouche cousue, je ne dis rien.

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Une photo vaut mille mots

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Je ne relate pas le déroulement parce que…

Il vaudrait mieux demander à ce petit « arbrisseau » de vous raconter… ou au Grillon, ou à François mon beau-frère, ingénieur forestier ou à Boby le complice.

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Une véritable histoire de gamins.

Je vous invite à me dire où sont désormais enfouies les  racines de cet embryon « d’érable à sucre ».

Une belle histoire en devenir.    

AH! ce téléphone intelligent

 

J’ai lu sur le blog de « chez Mamédjo » ses adorables notes qui me font mourir de rire. Celle de la « Voyante » m’a fourni ma dose de rire nécessaire au bon maintien quotidien de la santé physique et mentale.

Vous me direz peut-être qu’il ne faut pas rire de ce qui arrive aux autres, j’admets. Je ne fais pas exprès. C’est plus fort que moi. Le plus drôle, c’est quand je veux raconter ce qui est arrivé, que ce soit à l’homme de ma vie, à l’un des miens ou à moi, je pouffe de rire, je perds la voix, je m’éclate. Ma cousine Denise (je précise : ma demi-cousine) en sait quelque chose.

Je vous ai déjà raconté, il y a de cela des lunes, j’avais  repêché mon golfeur engouffré presque jusqu’à la taille, dans une marre de boue brune et sans fond, tout cela pour récupérer sa petite balle blanche. Encore aujourd’hui, juste à revoir la scène, j’ai peine à l’évoquer sans rire, incapable de terminer tellement je ris « de bon cœur » dirait ma mère. Je ne suis pas plus méchante pour ça. Je ris de tout et de rien pourvu que ce qui survient soit sans conséquence tragique. Je ris même, en ce moment, en rédigeant ma note.

Je reviens à Mamédjo. 

Si j’ai tant ri à propos de la voyante, de la pauvre Mamédjo et de son téléphone, c’est que son histoire me fait penser à ce qui se passe avec le mien. Mon nouveau téléphone intelligent Android, muni d’une boîte vocale et texte ainsi que les données (accès en ligne, courriel, internet, programme informatique), clavier à touches conçues pour doigts menus, caméra pour photographe compulsif, calendrier, agenda et tâches à accomplir, tout y est sauf le temps qu’il faut pour l’apprentissage.

En plus, Il me siffle le coquin. Un soir, recroquevillée dans mon fauteuil en train de lire, on me siffle. Je fixe l’intrus, l’objet de mes soucis. C’est lui le siffleur. La dernière fois qu’on m’a sifflée, je devais avoir vingt ans répondis-je à mon petit-fils qui venait de m’envoyer mon premier texto pour m’annoncer qu’il était en route. Je ne parle pas du temps qu’il m’a fallu pour lui répondre. Il a bien ri et n’aurait jamais pensé que jadis, sa grand-mère se faisait siffler. (c’était la mode du temps).

Un jour, elle n’était pas la première à me le dire, j’apprends qu’en ouvrant son téléphone intelligent [le sien l’est aussi)) ma copine me voit apparaitre sur son écran. Là, c’est grave! Vous pensez bien que ma surprise s’est transformée en rire avant que la consternation s’empare de moi devant le phénomène. Je n’ai rien de la vierge de Fatima ni de celle de Lourdes. Comment puis-je « apparaitre » soudainement sur les écrans de tout un chacun?

Cindy, ma fifille, qui arrive à me rejoindre, par miracle, sur mon vibrateur silencieux [remisé sagement dans la poche arrière de mon jean), me demande pourquoi, ce matin- là,  je l’appelle sans arrêt. « Moi! Tu es certaine? » Je suis décontenancée, estomaquée. Puis je me mets à rire. C’est trop drôle! Allez comprendre! Voir si je la dérangerais au travail.

Une autre bonne amie m’a informée du même problème, sauf que c’est habituellement le soir, à l’heure du téléjournal, ou dans sa voiture. En plus, je lui apparais. Vous pensez! Je parie que vous riez et pourtant ce n’est pas drôle.   

D’autres, je ne les compte plus, m’avisent de fermer mon cellulaire de malheur, l’appel terminé, sans quoi, ils entendent mes conversations, mes remarques, la musique alors qu’ils s’évertuent à me crier dans leur iPhone de fermer le mien. Je ne peux pas vous raconter cela sans pouffer de rire.

Le jour où j’aurai maîtrisé la fonction recherche, Google Maps, Google Drive, Google + Google Play, Facebook et  You Tube; je croirai les spécialistes qui me disent : « ne vous inquiétez pas, vous allez vous y faire ».

Pour l’instant, vaut mieux en rire.


ILS SONT FOUS CES QUÉBÉCOIS!

 

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Je l’savais! Je l’savais que vous diriez ça!  Si vous ne m’aviez pas écrit cela, j’aurais raté mon objectif : vous faire frissonner, grelotter de froid.  Quelques minutes précédant sa visite chez les grands-parents, ma Sinead se prélassait dans le spa chauffé à bloc. De là le défi du bikini. D’ailleurs sitôt, elle y est retournée.

Il faut le dire : ils sont fous ces Québécois. Fous d’aimer l’hiver, la neige, le givre sur les arbres. Fous de braver le froid et ses bourrasques, les tempêtes, les rafales. Fous de ne pas avoir peur de se geler le bout du nez pour admirer la beauté de l’hiver qui nous enveloppe de son manteau blanc.

Pour vous réchauffer bien amicalement, je vous offre Tremblant dans sa splendeur hivernale.

LES VOEUX DE LA POUPÉE MANON

 

 

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Pour vous souhaiter que 2014 soit une année radieuse et pleine de petits et grands bonheurs, la Manon a choisi de porter son gilet favori, sa tuque et son foulard en souvenir de son premier Noël passé dans son pays adoptif, le Canada.

Quand je lui ai dit que je vous écrivais, elle s’est assise comme d’habitude, juste devant cette ravissante photo, souvenir de la Bloguinade chez le Grillon. C’est son petit coin favori. Elle veut que je vous rappelle qu’elle aimerait être du voyage au moment de la bloguinade à Châteauroux. Vous pensez bien que je ne voudrais pas lui faire rater une telle rencontre. Elle souhaite revoir ses cousines et leur raconter ses exploits dans le froid et la neige.

Nous nous joignons donc, Boby et moi, à notre petite Manon pour vous vous souhaiter une année sans épreuves, une année paisible, sereine, une année comme on la veut pour ceux et celles que l’on aime.

BONNE ET HEUREUSE ANNÉE