La patience est une fleur
qui ne pousse pas dans tous les jardins.
John Heywood
Excellente Bloguinade à vous tous!
La patience est une fleur
qui ne pousse pas dans tous les jardins.
John Heywood
Excellente Bloguinade à vous tous!
Vous avez un blog. Vous savez que vous devez l’étoffer assidument sinon, vos amis blogueurs qui vous visitent religieusement seront déçus de retrouver, au bout de quelques jours, la même photo ou le même boniment.
Vous voilà prise d’un sentiment de culpabilité gonflable, juste à vous répéter qu’il faudrait bien que vous l’alimentiez ce pauvre petit blog de malheur. Plus rien autour de vous n’éveille votre imagination. Plus les heures passent, moins vous avez d’inspiration. C’est le syndrome de la page blanche. Dans votre cas c’est le syndrome de l’écran vide qui vous affecte, dirait un ami poète.
Soudain, votre ami JC vous envoie un petit bonsoir et ajoute une de ces anecdotes comme il en court des centaines sur le web. Elle vous tombe dans l’œil, vous la savourez. Elle est raffinée pensez-vous. Votre « cousine 2013 » vous dirait qu’elle a de la classe. Elle n’est pas neuve, elle roule depuis longtemps, mais, bref, vous l’aimez.
Merci JC! Sans pour autant le savoir, en vous adressant un petit coucou, votre ami vous a donné juste ce qu’il fallait pour retrouver vos amis blogueurs.
Un ami, c’est quelqu’un qui vous aide sans le savoir et qui mérite de savoir qu’il vous a aidé.
Voici maintenant l’anecdote du bon curé qui ne ment jamais!
Tout est dans l’art de dire les choses.
Sur un vol vers la France, une jeune fille distinguée était assise à côté d’un prêtre. Elle lui demanda : « Mon père, puis-je vous demander une faveur? » — « Bien sûr mon enfant, que puis-je pour vos? »
« Eh bien, j’ai acheté un séchoir à cheveux électrique très perfectionné pour l’anniversaire de ma mère. Il est dans son emballage et bien au-delà de la valeur limite d’importation. J’ai bien peur que l’on me le confisque. Ne pourriez-vous pas le passer à la douane pour moi, sous votre soutane, par exemple? »
– « J’aimerais bien pouvoir vous aider, chère enfant, mais je dois vous avertir, je ne mentirai jamais. »
« Avec l’honnêteté écrite sur votre visage, on ne vous questionnera sûrement pas.»
Lorsqu’ils arrivèrent au guichet des douanes, la jeune fille laissa passer le prêtre.
Le douanier lui demanda : « Avez-vous quelque chose à déclarer Mon père? »
« De la pointe de mes cheveux jusqu’à ma taille, je n’ai rien à déclarer! »
Le douanier trouvant cette réponse bizarre, lui demanda alors : « Et de la taille aux pieds, qu’avez-vous à déclarer? »
« J’ai instrument merveilleux destiné à être manipulé par une femme et qui n’a jamais été utilisé à ce jour. »
Le douanier éclata de rire et lui répondit :
« Passez Mon père!!! Au suivant!!!
Charlotte découvre le plaisir de l’apprentissage.
« Se mange sans avoir faim »
aurait dit ma mère,
présente dans ma pensée,
le jour de la Fête des Mères.
Je jubile au milieu des filles de ma merveilleuse tribu rassemblée pour célébrer la Fête des Mères. Quatre générations
« L’oiseau a son nid,
l’araignée sa toile
et l’homme l’amitié »
William Blake
Il y a une vie apès la mort:
les pissenlits
Sylvain Tesson
En regardant la dalle en ciment que l’homme de votre vie et vous, aviez coulé en 1970, ayant soin d’y graver le millésime et d’y laisser ce jour-là, les empreintes des pieds de vos enfants et les vôtres, vous n’auriez jamais pensé qu’un jour, quarante-trois ans plus tard, vos arrières petits-enfants allaient découvrir la précieuse dalle, et y poser leurs petits pieds dans ces empreintes à jamais incrustées dans la pierre, comme l’avaient fait vos enfants, maintes fois, au fil des années, jusqu’au jour où ce fut les leurs qui reprirent le geste.
Les yeux fixés sur cette dalle enchâssée de cailloux rejetés par la mer, vous n’aviez jamais imaginé qu’une quatrième génération viendrait poser ses pieds dans les vôtres, juste pour voir…
C’est trop beau et c’est gratuit. Il aura fallu juste un peu de ciment, du sable, des petites roches, de l’eau, une truelle et beaucoup d’amour.
« Donne-moi du bonheur si tu veux que je le chante…!
jolie prière de Marie Noël.
À mon tour:
« Donne-moi des fleurs si tu veux que je les offre…«
Au jardin, pas le moindre brin de muguet en ce début de mai.
Tout ce que j’ai à vous offrir : trois tulipes maigrichonnes et bien frileuses.
Un peu de soleil sur branches.
Comme un clin d’œil, ce cœur fleuri sur la porte du bercail.
Bonne fin de journée!