LA COUPE CARIBOU, UNE TRADITION

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Le weekend dernier, à Tremblant, se tenait un événement annuel fort attendu.  La coupe Caribou qui clôture avec effervescence la saison hivernale.  Planchistes et skieurs s’en donnent à cœur joie, faisant appel aux plus audacieux déguisements pour relever un défi de taille: dévaler le tracé de neige à vive allure dans le but de traverser d’un seul trait le bassin d’eau froide de 96 pieds de longueur et d’en ressortir glorieux. On se souviendra de la plongée triomphale de Monika, notre étudiante hongroise.

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 Cette année, ils sont cent vingt-deux participants à être acclamés par des milliers de spectateurs enthousiastes venus applaudir leur témérité et leur bravoure. Parmi les vedettes de l’heure quatre de notre tribu y participaient. Les voici à tour de rôle dans le feu de l’action. Ne parlons pas d’eau surtout. Nous les admirons et leur disons: bravo!

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Éric et sa sortie triomphale

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Rachel prendra une bonne douche

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Tanya traverse le bassin sans se mouiller

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Patrick éclabousse les spectateurs

un brin de fleurs

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Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir!  Qui est l’auteur de ce proverbe plein de sagesse?», on dit que ce message d’espoir remonte à la nuit des temps. On l’attribue souvent à une citation du poète grec Théocrite (311 – 260  av. J.-C.), « L’espérance reste aux vivants », qui se trouve dans le dialogue entre Corydon et Battus, Les Bergers, Idylle IV. »

Ce matin, au bercail, en mettant le nez dehors, j’aperçois ce brin de vie dans le gazon. Regardez-moi cette modeste et fragile créature seule au milieu de nulle part.  Admirez sa fierté, sa cambrure, sa tête tournée vers le soleil et dans le vent! Mademoiselle est notre première brindille fleurie de la saison.

DES ÉRABLES CHEZ LE GRILLON

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Vous vous souvenez de notre visite au lac Trois-Saumons, dans le bas-du-fleuve, chez les Couillard, François et Burthy, sœur de l’Homme,  et de ces embryons « d’érable à sucre » offert à Christian?

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Surprise! Pas plus tard qu’hier, en relisant la note du Grillon heureux (il vous faudra patienter, 31-03-2014), j’ai appris que les «acéracées» aux fragiles racines, avides de vivre, ont triomphé miraculeusement la traversée, repris forme, puis une fois bien enracinées aux portes du terrier, produit bourgeons et feuilles d’érable.

Je me suis dit que la nature et le temps font bien les choses et qu’il suffit parfois d’un geste posé tout bonnement, en toute amitié, pour qu’une belle histoire prenne racine et se raconte un jour, plus tard, beaucoup plus tard, quand les deux arbres venus du Canada auront branches et feuilles et côtoieront les oliviers tant aimés.On parlera alors d’une merveilleuse histoire remontant à la nuit des temps…

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Parlant de temps, c’est le temps des sucres par ici. Au bercail, notre érable « coule à plein ».  Les moineaux tricotent leur nid, les bourgeons éclatent. C’est le printemps. La vie reprend son cours.  Il y aura la Semaine sainte, le dimanche des Rameaux, les cloches qui reviendront de Rome et ce sera Pâques,

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avec ses rituels, ses traditions et sa promesse de réunir la tribu entière autour de cette table familiale qui n’en finit plus de s’étirer.

  Joyeuses Pâques à vous tous.