« Le budget devrait être équilibré, les finances publiques devraient être comblées, la dette publique devrait être réduite, l’arrogance de l’administration devrait être abolie et contrôlée et l’aide aux pays étrangers devrait être diminuée de peur que Rome ne tombe en faillite. Les gens doivent encore apprendre à travailler, au lieu de vivre sur l’aide publique. »
(Écrit par l’orateur CICÉRON en 55 avant Jésus-Christ.)
Mois : octobre 2009
POTAGE À LA CITROUILLE

Un plat réconfortant pour le dimanche de la Toussaint
ou pour célébrer le soir de l’Halloween.
Ce potage se présente bien dans une citrouille.
125 ml. d’oignon haché
250 ml. de céleri haché
250 ml. de pommes de terre pelées et coupées en cubes
1 tasse de citrouille coupée en cubes
700 ml . de bouillon de poulet
450 ml. de lait
30 ml. de beurre
Sel et poivre blanc au goût
Faire fondre le beurre dans une casserole puis y faire revenir à feu moyen l’oignon, le céleri, les pommes de terre et la citrouille pendant 4 à 5 minutes en remuant fréquemment.
Ajouter le bouillon de poulet et amener à ébullition à feu vif. Réduire le feu à doux et laisser mijoter pendant 25 minutes ou jusqu’à ce que les légumes soient tendres.
Retirer la casserole du feu. Déposer les légumes dans le mélangeur et mélanger jusqu’à l’obtention d’une consistance homogène. Verser cette purée dans une casserole pour la faire chauffer à feu doux en ajoutant graduellement le lait et en remuant fréquemment. Saler et poivrer et, si le cœur vous en dit ajouter un soupçon de poudre de cari (secret du chef).
Bon appétit!
UN DIMANCHE D’AUTOMNE
Je vous salue en ce dimanche grisâtre.
Voyez comme le vent du nord,
en quelques jours à peine, a vite défeuillé les blancs bouleaux.
Les érables sont dépouillés et pour l’instant,
seules les feuilles cuivrées de nos jeunes chênes
Résistent aux morsures du froid.
Bonne journée et excellente semaine
CEUX QUI FONT L’HISTOIRE
Durant la dernière guerre, Churchill pénétra dans le bureau de De Gaulle dans un costume exentrique: noeud papillon à pois, chemise rayée et costume à carreaux.
Le général toujours en uniforme, leva la tête, sourit et dit à son hôte:
« Tiens c’est le carnaval à Londres aujourd’hui?
-Que voulez-vous, répond l’autre, tout le monde ne peut pas se déguiser en soldat inconnu!
UNE PHOTO QUI VAUT MILLE MOTS
Le commentaire au bas de ma note « Premiers flocons de neige », signé Michel Bourguignon, notre golfeur lyonnais, (pardon Stéphanois) avec qui nous avons joué au golf à Tremblant, a de la suite dans les idées en me faisant parvenir cette photo qui vaut mille mots. Merci le cousin (Stéphanois) Soit dit en passant, il est un superbe golfeur. Vous devriez voir le swing! De plus, il a inscrit un Birdy qui a mérité une récompense: «une p’tite shot de brandy ». Ce n’était pas dans ses coutumes…
Mille excuses Michel, je corrige mon lancé. Cest Catherine, la superbe golfeuse qui a inscrit le Birdy. Je rends à césar ce qui appartient à César et j’offre une deuxième p’tite shot de Brandy à Catherine pour me faire pardonner.
TRICK-OR-TREAT
Brrr! Il fait froid chez nous. L’été des Indiens se fait attendre. Vous auriez dû voir mon « figuierculteur » à 23 h hier soir, rouler son arbre chéri dans le garage. Il a plié l’échine le pauvre (pas le mari, l’arbre) ses branches dépassant la hauteur de la porte. Miss Météo prédisait -4 ou -5 durant la nuit.
Pour réchauffer l’ambiance, voici une invitation à fêter l’Halloween, fête de magie, de déguisements, de bals masqués pour les grands et de bonbons pour les petits.
Bonne fin de journée!
PREMIERS FLOCONS DE NEIGE
Hier, c’était le jour de l’Action de grâces. Pour rendre hommage à la nature, au fil d’une balade dans les sous-bois, j’ai glané quelques feuilles d’érable aux couleurs de la saison, en pensant à vous qui me visitez en toute amitié.
Et puis, nous avons décidé de prolonger notre séjour dans notre refuge. Ce matin, surprise! Ce n’est pas la pluie qui tombe, mais une neige fondante. Brrr. Pas déjà!
Bonne nouvelle « Le petit chéri, le gamin » (je parle de mon chevreuil chouchou). Celui qui était blessé l’an passé. (Ils se mutilent entre eux. D’un coup de patte, ils se déchirent la peau.) Il est guéri, un vétérinaire a dû le « recoudre. Nous pouvons voir la cicatrice.
Il est là en ce moment en train de déguster pommes, carottes et moulée. Voici un instantané.
Allons! Deux, trois visiteuses tentent de partager son festin. Voyez les oreilles du gamin prêt à les chasser risquant une nouvelle déchirure.
J’oubliais! Samedi, nous avons joué au golf en compagnie d’une dizaine de touristes- golfeurs de la région de Lyon. Ce fut formidable. Les grands espaces, les paysages, le parcours féérique du Diable (le nom du parcours) l’accueil légendaire des gens de chez nous, le sirop d’érable à toutes les sauces même sur les frites, ont enchanté les cousins émerveillés.
En regardant les plaques d’immatriculation et en lisant le : « Je me souviens», la question traditionnelle n’a pas été épargnée. « Que veut dire ‘Je me souviens’?.
J’avoue, ici, que la réponse varie selon la personne à qui vous posez la question. » J’ai préféré, dans les circonstances, me référer aux notes de notre célèbre historien Jacques La coursière et la réponse fut : “Je me souviens d’être né sous le lys et de vivre sous la rose” À mon grand étonnement, une golfeuse a vite levé la main toute fière de dire qu’elle connaissait cette version.
Bon, je vous ai assez retenus. Je vous souhaite une excellente fin de journée et termine sur une pensée d’Abraham Lincoln :
“On est heureux dans la mesure ou on a décidé de l’être”
Bonne fin de journée à vous.
QUE LA MONTAGNE EST BELLE…
Excellente fin de journée! Je vais marcher dans le sous-bois.
ON A DEMANDÉ AU DALAI LAMA…
« Qu’est-ce qui vous surprend le plus dans l’humanité? »
Il a répondu
« Les hommes…Parce qu’ils perdent la santé pour accumuler de l’argent, ensuite ils perdent de l’argent pour retrouver la santé.
Et à penser anxieusement au futur, ils oublient le présent de telle sorte qu’ils finissent par non vivre ni le présent ni le futur.
Il vivent comme si ils n’allait jamais mourir…
…Et meurent comme si ils n’avaient jamais vécu. »
COURIR, UNE PASSION POUR MICHEL PILON

« Je ne suis pas un coureur, je suis un mécanicien qui aime courir »
La seule fois que vous avez assisté à une course automobile « drag racing » sur une piste d’accélération, c’était pour voir votre fille piloter un fougueux bolide sur une longueur d’un quart de mile. À l’époque, ses frères et son futur fiancé ont tout bonnement « lifté » votre GM Cutlass pour en faire une gazelle vrombissante. « The lady from Chomedey » (lançait le commentateur au moment du démarrage). Vous n’oublierez jamais les secondes qui suivirent l’exploit, sachant que l’intrépide était votre pitchounette. C’était, il y a trente ans.

Hier, cette fois, c’était la Classique d’automne sur le sinueux et pittoresque circuit Mont-Tremblant avec ses 15 virages sur une longueur totale de 4,265 km. Cet événement attire les coureurs, de partout à travers le Canada et les États-Unis, qui se disputent une place sur le podium dans leurs championnats respectifs. Les courses incluent la Formule 1600, la Touring et GT, la Écho Pirelli et les classes Vintages.

Michel, un proche de la famille, pour qui la course automobile est une passion et non une carrière pilote ce jour-là, sa « Viper Competition Coupe », Moteur V10 de 520 ch. pour 3,000 livres sans carburant, 3,250 à la pompe. Au démarrage, l’Américaine grimpe à 100km/hr. en 3.4 sec.et atteint 250 km/h en vitesse de pointe.

Vous y étiez corps et âme, dans les paddocks, là où se trouvent votre pilote et son jouet extravagant. Vous y étiez pour supporter le colosse, qui allait courir contre une chevauchée de quarante autres poulains. Rien à voir avec la F1 sur le circuit Monaco. Mais tout à voir en fait de sensations fortes au milieu d’un décor automnal féérique.

Le coureur met la main à la roue

Claude et Éric font une dernière vérification

Le coeur du bolide
Entre les qualifications et la course, une fois de plus vous y étiez, admirant l’équipe Michel, Claude et Éric en train de « paterner », dorloter, caresser avec calme et adresse le fauve au repos.
Quand la course démarre dans un rugissement de bêtes affamées, gare à vos tympans. Qu’à cela ne tienne, vous vous apprivoisez à ce « vacarme d’enfer ». Vous en venez à le tolérer, à mesurer son intensité, à l’accepter comme par enchantement.
« Je ne suis pas un coureur, je suis un mécanicien, mais j’aime courir ». avoue Michel. Mis à part la passion et l’endurance, l’émotion de la mise à feu passé, il reste que ce sport réclame au coureur; des nerfs d’acier, une maîtrise et un sang-froid hors du commun des mortels.

Michel est arrivé troisième, Classe GT.
en compagnie de son fan club: Iseult, Fiona et William