LE DÉFI EN BOUTS-RIMÉS

Parti de chez CHAP, passé par Françoise la Comtoise puis adressé à Nicole et Henri, et reçu sur mon blog, à mon tour de relever le défi. On se rappelle que le bout-rimé est un poème dont les rimes sont imposées à l’auteur.

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Malin qui sait m’entendre dit: ROUSSETTE,

Va aux bines, ou aime ma BINETTE.

Se dit la biche, sur la porte COLLÉE.

Tu me nourris, ou je franchis l’ENTRÉE.

 

Chouette! de voir par le CARREAU,

La vie qui bat, sous les MANTEAUX.

Être chez elle, un VISITEUR,

Vaut bien d’arriver à l’HEURE.

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Le bonheur est l’âme du REFUGE,

Pareil à l’enfant, devant sa LUGE.

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Là, sur le tableau offert à l’AMITIÉ,

En clair-obscur, luit la SÉRÉNITÉ.

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 Viendra le moment des RETROUVAILLES,

Et sa foison de douces VICTUAILLES.

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UN CANARD EN C POUR NOTRE COMTOISE

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Chut!  Je me Concentre, de dire à l’homme. Il me faut rédiger un petit quelque Chose, pour répondre au défi de Françoise la Comtoise, MA Cousine d’adoption, blogueuse  Chevronnée, sans Cesse Confrontée à Ce qui ressemble être nos hivers Canadiens : la neige et le vent.

 « Un Chasseur sachant Chasser,  peut Chasser sans son Chien ». L’espiègle de mari s’empresse de me réciter d’un souffle Cet exercice de diction bien Connu en Chuchotant le mot Canard au beau milieu de la phrase. 

-Est-ce toi ou moi qui faisons le devoir?  Tandis que Je suis en train de Contempler notre Chatoyant  Canard de bois, Cette pièce unique, œuvre signé Michel Samson, sculpteur renommé et talentueux. « Je ne Cherche plus, j’ai trouvé ma source vive d’inspiration. »

Le Cher palmipède n’est ni un Colvert ni un Huard, mais bien un Malard (Malart) dans toute sa splendeur.   

Sa présence sur la Cheminée m’entraine vers des ailleurs. « Pourquoi se Cantonner à l’intérieur par ce beau temps d’hiver, quand nous pourrions Chausser nos Chaussures Chauffantes et tout en Cheminant allègrement, nous diriger vers Ce resto de Cuisine fine française qu’est le « Cheval de Jade», faire un petit Coucou à notre Célèbre Maître Canardier, Olivier Tali et à sa Charmante Compagne.

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À peine ma pensée suggestive élucidée, que mon délinquant de mari s’empresse d’y mettre son grain de sel. «Étant sur les lieux, que dirais-tu de déguster Ce Célèbre Caneton des Laurentides à la Rouennaise, préparé son Maître Canardier?

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Je vous laisse Concocter la suite…

F POUR FRANÇOISE ET SON JEU

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Félicitation à Françoise  la comtoise qui a le don de stimuler Farouchement l’imagination (la  mienne), laquelle Frise parfois le Farfelu. Voici le défi qu’elle nous lançait : 

Si on jouait

Pour mettre un peu de piment sur blog50 je lance un défi, faire un texte avec une lettre en la mettant sous forme d’un pays, d’une ville, d’une fleur, d’une célébrité, d’une marque de voiture, d’un objet et d’un animal en y ajoutant des images ou photos pour compléter le texte. On commence par la lettre A le début de l’alphabet…

Finalement,  en Fouillant dans mes souvenirs les plus Fertiles, ce Fichu de devoir m’apparait moins Frivole.

 Après réflexions mures et Fécondes, Je Favorise donc la lettre F,

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ayant un Faible pour le mois de Février sans oublier notre prénommée Françoise.  

À cet égard, j’aurais aimé adresser un Faire-part à notre Fervente amie blogueuse, l’invitant à venir Fureter au cœur de ce que mon coin de pays offre de plus beau:

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ses saisons, sa montagne, sa Faune et sa Flore.

Le temps File et me presse. À la retraite, Faut Faire ceci, Faut Faire cela. On a rarement le temps de Fouiner dans les boîtes à photos pour illustrer son propos.

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Faignant d’être la Folle du logis, je vais me Frayer un chemin pour me Faufiler ensuite au Fin Fond de  la Foret où se cachent mes archives,

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illustrant les beautés de la Fougueuse rivière, « la Diable », de la Faune

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et de la Flore de mon coin de pays.

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Ainsi, je répondrai au défi de notre Futée blogueuse dont  l’imagination est à Fleur de peau.

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Françoise, pour te remercier de ce Fabuleux défi que tu nous as proposé, je te livre sur le champ, une tarte à la Ferluche (Forlouche).  Un produit de notre terroir. Il s’agit d’une sauce Faite de mélasse et de Farine, à laquelle on ajoute des raisins secs.

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  Joyaux de l’été indien, ces deux érables que Christian avait voulu immortaliser à l’occasion de son séjour à Tremblant.

 

Canada, ce 22 octobre 2014

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La mort du caporal Nathan Cirillo, réserviste des forces armées canadiennes, abattu en vigile, au pied du monument du soldat inconnu,  symbole sacré érigé à la mémoire des soldats canadiens morts au champ d’honneur, bouleverse douloureusement chacun de nous.  

Il y a un an déjà, à une semaine près de ce jour fatidique, Christian, le Grillon, l’ami venu de France, Boby, l’Homme de ma vie et moi visitions, en toute quiétude,  le Parlement d’Ottawa situé au cœur de la capitale canadienne, sans oublier cette mémorable ascension au sommet de la Tour de la Paix.

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Cette Paix, si chère à nous tous, ce soir est profondément chamboulée.

Cette Paix sauvagement violée, ce soir, est en berne.

 

CETTE BOUTEILLE À LA MER

 

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Mardi matin, à peine huit heures. Le téléphone sonne. Maman, en quelle année vous êtes allés en Gaspésie avec la tribu me demande Cindy?

— Je fais une petite recherche et te reviens, mais dis-moi pourquoi?

— À la radio, on vient d’annoncer qu’une bouteille lancée à la mer en 2004 en Gaspésie a été retrouvée en Irlande, 8 ans plus tard, après avoir parcouru un périple de quelque 5100 kilomètres. Le message qu’elle contenait transportait la signature de deux filles.

 « Si c’était nos signatures? Si c’était notre bouteille?» se demandent Tanya et Sinead. Les filles se souviennent de leur voyage, avec vous deux, en Gaspésie et elles se rappellent avoir lancé une bouteille à la mer dans laquelle elles avaient déposé un message. Si c’était en 2004, ce serait peut-être leur bouteille!

Ça y est! La grand-mère se lance dans la recherche, envoie un courriel à sa belle-fille Sonia, une véritable archiviste. Tanya communique avec Rachel, la cousine. William, le cousin est déjà en route pour le collège.

Pendant ce temps, la nouvelle se propage dans les médias comme une trainée de poudre.

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En vacances en Gaspésie, en juin 2004, Charlaine Dalpé et Claudia Garneau, toutes deux Montréalaises, âgées de douze ans, ont écrit un message en français, l’ont glissé dans une bouteille de boisson gazeuse et lancé le tout à la mer. 

Huit ans plus tard, à la suite de grandes marées qui s’abattent sur les côtes de l’Irlande, l’intrépide bouteille se retrouve sur la plage du village de Passage East. Oisin Millera, un petit bout d’homme de dix ans, en se promenant sur la plage trouvera ce qu’il considère être un trésor. Il réussit à ouvrir la bouteille et découvre une lettre datée de 2004. Oisin et sa mère tentent par tous les moyens de retrouver les deux jeunes filles qui n’ont signé que leur prénom.

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Nos heureux partagent leur histoire avec un média local, aussitôt reprise par de grands médias irlandais, internationaux et montréalais. Le contenu de la lettre disait simplement qu’elles étaient deux jeunes filles en vacances en Gaspésie. Elles donnaient leur adresse courriel et demandaient à qui trouverait la lettre de leur écrire.

Malheureusement, l’adresse courriel n’est plus active. Un ami envoie un lien internet à Charlaine lui demandant si elle était l’auteure de la lettre. En lisant l’article dans le quotidien montréalais The Gazette et en regardant les images en ligne, Charlaine maintenant âgée de 20 ans, reconnait sa signature et se souvient, fait part de la nouvelle à Claudia. Elles informent les médias et peu de temps elles seront en contact avec le jeune garçon irlandais.

Cette belle histoire ne se terminera pas là puisqu’elles iront en Irlande l’an prochain pour rencontrer Oisin et marcher sur la plage où il a trouvé son trésor.

 

2003. Départ du Lac Trois-Saumons pour la Gaspésie

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Rachel, Tanya, Sinead et William continuent à rêver qu’un jour, quelqu’un trouvera leur bouteille lancée à la mer, en Gaspésie, en 2003. En attendant, ils se réjouissent du bonheur de Charlaine, Claudia et Oisin. C’est une « tellement » belle histoire.  

 

 

 

 

Lonesome George, la tortue géante

 

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La mort de Lonesome George, le 24 juin dernier a fait la manchette des médias à travers le monde. Dernière tortue géante d’une sous-espèce, elle fut découverte en 1971 durant une campagne de rapatriement des chèvres sur l’île Pinta, l’une des plus petites îles des Galapagos, situées au large de l’Équateur.

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« George le solitaire » fut alors transféré au centre d’élevage de « l’estacion Charles Darwin » en mars 1972. Ces tortues géantes pesant jusqu’à 250 kg comptent parmi les espèces qui ont aidé le célèbre chercheur à formuler sa théorie de l’évolution au XIXe siècle.

 

 

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Visite de la station Charles Darwin, Îles Galapagos, novembre 2011.

Selon la légende, les tortues géantes, l’un des plus vieux reptiles de la planète, aussi l’un des plus rares – on ne les trouve qu’aux Galapagos et sur l’île d’Aldabra dans l’océan Indien — pourrait vivre plusieurs siècles. Lonesome George aurait atteint aujourd’hui entre 90 et 100 ans d’âge.

On a longtemps essayé de présenter à Lonesome George une candidate dont l’espèce similaire aurait assuré la perpétuation de sa lignée. Ce fut sans succès.  On a même été jusqu’à offrir une récompense de 10,000.$ US pour trouver la perle rare.

Lonesome Georges est mort sans descendance. Son espèce s’est éteinte avec lui le 24 juin 2012.

 

L’ŒUF DE L’ÉQUINOXE

 

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Cette fois, les sceptiques seront confondus.P1960667.JPG

En mars 2007, je publiais sur mon blog une note accompagnée d’une éloquente photo de l’homme de ma vie en train de prouver qu’au moment de l’équinoxe, les œufs tiennent debout. En septembre 2009, je soulignais de nouveau le phénomène. En mars 2010, je revenais sur le sujet avec une note intitulée :l’œuf de l’équinoxe. (voir archives sur mon blog)

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Vous pensez bien que le jour où nous avons atterri à Quito en Équateur, notre première destination terrestre allait être la « Mitad del Mundo »  (le milieu du monde –  Ligne de l’Équateur).

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Au pied de l’imposant monument qui marque la latitude zéro, je m’étais jurée (occasion unique), de mettre un pied dans chaque hémisphère. C’est à cet endroit précis, lorsque le soleil brille à la verticale, qu’il ne projette ni votre ombre ni celle des autres visiteurs.

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À quelques pas de là, au musée Solar Inti Nan, précisément situé sur la ligne équatoriale définie par GPS, les touristes sont invités à observer de quelle façon les eaux se déversent de chaque côté de l’équateur. Du coup, je n’allais pas rater l’occasion de photographier le guide qui, sous le regard émerveillé des visiteurs nous fit vivre l’expérience de l’œuf qui tient debout.

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À votre tour maintenant

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C’ÉTAIT HIER…

« L’événement est un signe » le titre résumerait bien ce qui a entouré l’illustre victoire de Jack Layton puis la mort de ce politicien d’exception, décédé des suites d’un cancer, le 22 août dernier. En moins de temps qu’il eut fallu, un homme aura marqué le présent et qui sait, l’avenir de notre pays.

Deux jours avant sa mort, le chef du NPD (nouveau parti démocratique) — nouvellement élu parti de l’opposition officielle à Ottawa — a pris le temps d’écrire une lettre aux Canadiens. Son vibrant message se terminait par un rayon de soleil. Je vous le livre souhaitant que chacun le retienne : « Mes amis, l’amour est cent fois meilleur que la haine. L’espoir est meilleur que la peur. L’optimisme est meilleur que le désespoir. Alors, aimons, gardons espoir et restons optimistes. Et nous changerons le monde. » Signé : Jack Layton.

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La nature fait des siennes c’est temps-ci. Nous sommes revenus — en toute quiétude — du Cap Hatteras, il y a de cela deux semaines. Je remarquais justement en traversant les Outer Banks et observant de chaque côté de la route, les dunes recouvertes de blés de mer. La prolifération de la verdure agrippée dans le sable semblait indiquer l’absence d’ouragan depuis un bon moment.

Hélas, Irène ne s’est pas fait trop attendre de ce côté de l’Atlantique à ce que je vois. Ce matin à Tremblant, « Il fait un vent à décorner les bœufs » Expression bien de chez nous.  La pluie torrentielle – j’imagine — viendra plus tard ou pas, selon le caprice d’Irène. Rien de catastrophique jusqu’alors. Je rassure les cousines blogueuses dont les héritiers vivent au Québec. Dernière observation météorologique : les oiseaux volent bas, serait-ce qu’ils se doutent du mauvais temps à venir.

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Ce weekend, je n’ai pas eu le plaisir de m’extasier en regardant les cyclistes rouler sur le célèbre parcours Paris Brest comme certains blogueurs privilégiés l’ont fait. Vous avez deviné qu’il s’agit de notre « Observateur Nature ». Il nous en mettra surement plein la vue avec ses photos exceptionnelles. Par contre, hier, au refuge, mon fils Lawrence et Nadine ont donné rendez-vous aux PDN un club de cyclistes de vélo de montagne. Après leur randonnée dans les sentiers abrupts et sinueux de Tremblant, ils étaient conviés au refuge pour une traditionnelle épluchette de blé d’Inde.

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Les vélos mis au repos,  on pouvait apprécier ce bel esprit d’équipe et de camaraderie qui règne au cœur de ces adeptes d’un sport exigeant.

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Dans chaque adulte dort un enfant. Il fallait les voir, coude à coude rassemblés autour de la fontaine de chocolat au Brandy

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C’est la saison des fruits et légumes et de tout ce qui poussent dans les jardins.  J’ai préparé pour vous une « assiettée » de tomates assaisonnées d’huile d’olive, cadeau du Grillon, d’ail, de persil de mon jardin d’herbes, d’amour et de quelques capucines pour la présentation.

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Entretemps, craignant les vents dévastateurs et la pluie diluvienne de notre Irène, l’homme à tenu à cueillir sa récolte de poires avant de quitter la maison de toujours pour le refuge,  assurant à tout un c
hacun sa ration et à sa descendance — troisième génération — une bonne provision de purée de poire.

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Pour clore le weekend, je vous offre aussi la fleur du jour. J’espère que vous la recevrez avant que la pluie et le vent aient raison d’elle et chiffonnent sa belle robe rubis. Même notre bestiole préférée est venue s’approvisionner d’arachides en prévision du passage d’Irène.

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Je vous souhaite une excellente semaine. Nous sommes lundi matin, jour calme et ensoleillé. Je pense à Diogène devant son tonneau et me répète comme lui : « encore un jour où il fait trop beau pour travailler ».