« Simple comme bonjour » m’a dit l’homme de ma vie. Si tôt dit, si tôt fait. Une bouteille que nous aurons préalablement libérée de son contenu à l’heure de l’apéro, le bouchon de liège que nous avons retenu pour le spectacle, quelques cure-dents et les indispensables fourchettes.
Devant l’écran de mon ordi, en plein sur ma table de travail, l’homme s’est mis à l’œuvre.
Une première opération : Enfourchez solidement les fourchons des deux fourchettes. (Du coup, un exercice de prononciation qui mesure votre degré d’alcool dans votre sang).
Deuxième opération qui répond à la question du Grillon sceptique :
Une fois le cure-dent inséré entre deux fourchons, le déposer tout tout tout délicatement sur la pointe du cure-dent déjà insérée dans le bouchon.
Coucou la cousine !
Bravo ! à l’homme il a compris l’astuce et doué .
Original , je vais le faire essayer à mes convives de Noël .
Bonne journée dans ton pays loin là-bas , bizoux à vous deux Françoise !
J’aimeJ’aime
Bonjour Pierrette,
Merci pour avoir pris la peine de m’expliquer. Je vais essayer dès que j’aurai retrouvé les cure-dents.
Mais dans quel tabernacle de foutoir j’ai bien pu les mettre ?
Bises du grillon
J’aimeJ’aime
Bonsoir Pierrette,
Merci de ton commentaire sur mes découvertes rares . Les dernières photos représentent un crâne de chevreuil, ses bois ont poussés en se croisant . La croissance a du provoquer une fracture du crâne de par la pression exercée sur chaque bois quand ils se sont rencontrés . Hypothèse déduite en voyant les fissures du crâne en différents endroits .Bonne fin d’aprés midi , je t’embrasse avec toute mon amitié .
J’aimeJ’aime