Vous avez vu ce paysage féérique avec ces sapins lourds de neige? C’était hier. Une pluie torrentielle et des bourrasques de vent à « décorner les bœufs » ont tout emporté. Il ne reste pas l’ombre d’un flocon de neige. Le décor est triste comme un mois de novembre et nous sommes le premier décembre. 10 degrés à Tremblant ce matin. Plus chaud cet après-midi.
On ne voit même plus la montagne enveloppée dans le brouillard.
Dame nature aura du travail pour redonner vie à la montagne. Pour l’instant, comme des sans-cœur, nous abandonnons notre refuge en deuil et retournons au bercail.
Bonne journée à vous tous.
Je vous regarde vivre 
Coucou cousine !
Tu as bien fais de mettre une photo de neige hier car ce jour c’est tout le contraire et ici en France il neige un peu partout surtout dans les régions où ils ne l’a voient pas souvent …
Bonne soirée dans ton pays loin là-bas , bizoux Françoise !
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Bonne journée à oi aussi, Pierrette….
Quel changement en une journée, c’est à peine croyable….
Je vous embrasse tous les deux
Anita.
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incroyable et en Berry … la neige !! je t’envoie des photos bisous
Nicole
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Bonjour Pierrette,
Vois-tu, je ne suis pas encore couchée. Je ne vais d’ailleurs plus tarder à me glisser sous la couette bien tiède.
As-tu vu comme la France a un air de ressemblance avec le Canada. Seulement, chez nous, cela occasionne bien du désordre. Chaque année nous nous laissons surprendre. Je parle des citadins parisiens, lyonnais, marseillais. Cela fait sourire nos montagnards.
Passe une bonne journée et tu me vois ravie de t’avoir offert une boisson chaude. Que tu apprécies ma broderie me fait plaisir.
Bises
Geneviève
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Eh bien ça change vite au Tremblant. Un temps presque à reprendre les batons de golf ! Mais je suppose que les parcours sont fermés depuis longtemps.
Bonne soirée
Christian
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Nous trichons, Christian. Nous partons avec nos bâtons et quelques balles et marchons sur le parcours. Nous faisons quelques trous à partir de notre refuge.
Je retourne à tes olives.
Je suis épatée de découvrir l’olivade
Vite gros bisous, je cours vers le terrier.
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