CRABILLOU, AUREVOIR

Ce soir j’ai l’âme à la tristesse

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Le départ de Crabillou  ne nous laisse pas indifférents. Sa présence parmi nous, son adieu teinté d’espoir.

En évoquant l’absence de Crabillou, j’aurai en mémoire son : « Que te sert de dormir si tu ne rêves point… » moralisateur, intransigeant, stimulant aussi.

Les notes qu’il nous confie en héritage me touchent profondément. Ce deuil, que je partage avec chacun de vous me rappelle que je fais parti de votre grande famille bien que je sois si loin de vous tous. C’est un privilège qui m’est donné et que j’apprécie du fond du cœur.

Dans le deuil, je me réfugie dans le silence pour relire Khalil Gibran  évoquant le mystère de la mort : « Faites confiance aux rêves, car c’est en eux qu’est cachée l’entrée pour l’éternité. »

Ce soir j’ai l’âme à la tristesse.

12 commentaires sur “CRABILLOU, AUREVOIR

  1. coucou Pierrette
    Nous sommes tous touchés par le départ brutal d’Alain, d’autant plus que la dernière note annonçait qu’il allait un peu mieux
    Bien sûr tu fais partie de notre famille, l’éloignement ne fait rien à l’affaire
    Bisous et bon dimanche

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  2. Merci pour ton passage Pierrette et Merci pour ces mots qui disent comme chacun a perçu la richesse de sa part humaine.
    Tristesse partagée. Je t’embrasse. Monique

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  3. C’était un rêveur qui a voulu ,car il était curieux de tout,s’approcher de l’éternité à laquelle il ne croyait guère..mais va savoir ce qui se passait dans le coeur de ce grand  » bourru »!
    Le rencontrer sur notre chemin fait partie de ces moments de grâce…
    il nous manque.
    Merci Pierrette pour cette note.
    laurence est dans nos pensées.
    Bises
    Betty

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  4. Hello
    Merci pour ton com, et merci pour le poème.
    Je vois que tous les »z’amis » blogueurs et blogueuses sont émus par le départ de Crabillou.
    Je suis aussi contente de faire partie de cette grande famille malgré que je sois une récente blogueuse.
    Amitiés de Haute Loire et bon voyage
    Janie

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  5. ce sont des jours de tristesse … Alain est parti sur les chemins où la douleur n’existe pas …. il nous manque déjà, mais que dire du chagrin Laurence de ses proches et du vide qu’il laisse. Si vite et trop tôt parti. Nous sommes de la même années 1945. Il aait encore tellement de choses à nous dire .
    J’ai le coeur gros.
    Bises
    ANNIE

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  6. Nous tous amis blogueurs avons le coeur bien lourd ..
    Alain nous manque .. nous ne l’oublierons pas !
    Bisous du Berry vers le Québec !!
    Nicole

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  7. Bonjour Pierrette
    Comme beaucoup, le départ d’Alain te laisse une peine au coeur. Il était si généreux lui aussi !
    Je quitté ton blog quand tu allais être une nouvelle fois arrière grand-mère et je reviens bavarder avec toi.
    Le fusil à patate est une découverte pour moi, et soit certaine que je vais essayer dès que j’aurai terminé la lecture des blogs, où j’ai un mois de retard. Si je n’ai pas de cèdre, j’essaierai avec du pin.
    Il faut que je lise les récits croisés de Josette et Hélène. Ce n’est pas simple quand on déboule dans le blog avec tant de retard. Pour le moment, je vois que Monika n’a pas changé d’un iota, et que sa jeune sœur est aussi jolie qu’elle.
    Avec ces visiteurs et ta belle sœur intrépide, vous avez été fort occupés en cette fin de juillet.
    Le repos à Cap Hatteras sera bien venu. Et le séjour passera bien vite.
    A bientôt
    Christian qui te bise

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