Mais peut-être demain le grand flambeau des cieux
Fera fondre les Fleurs du givre racieux,
Et tout ce vaste éclat de prodige et de rêve
Devra s’évanouir comme la lueur brève
D’un espoir qui, parfois illuminant nos jours,
Brille quelques moments et s‘éteint pour toujours.
Le Givre (extrait)
Poésie de William Chapman
le givre est une dentelle qui pare tous les objets, quel bonheur que de te lire, j’avais beaucoup de retard, maladie, panne d’ordi …cela ne change rien pour juin et les retrouvailles …en serez vous? as tu reçu mon mail d’invitation ?
je vous embrasse
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ici cela ne va pas tarder Il commence à faire froid
la nature est belle en toutes saisons
Bises à vous deux Brigitte
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Coucou cousine !
Le givre nous fait son spectacle avec la nature et c’est joli .
Bonne journée dans ton pays loin là-bas et des gros bizoux Doubs de la Fanfani !
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Bonsoir chère blogueuse que j’aime lire. Non je n’ai pas reçu de mail d’invitation. J’aimerais bien la recevoir.
Je ne peux jurer de rien. J’avais répondu oui avec enthousiasme et regardes! Je le souhaite ardemment. À nos âges, Boby qui aura 82 ans le 05 janvier et moi qui marche sur mes 81 ans nous one savons jamais ce qui nous attend. Nous vivons à la semaine et profitons de la vie.
Je t’embrasse et souhaite être là.
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Chouuuuuuuuuuette , les cousins avec nous en juin 2013 …
Gros bizoux à vous deux dans votre pays loin de nous !
Fanfani
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Bonsoir
Hier, j’étais sur le Mont Ventoux, moitié pour cherchez quatre champignons, moitié pour entrer en automne dans les forêts de cèdres, d’érables , de pins et de hêtres.
Au sommet, le brouillard résistait encore aux rayons du soleil. Il faisait doux, j’étais absolument seul dans ce chemin forestier, entouré de ouate et de silence. Puis, peu à peu, les vapeurs se sont dissoutes, l’herbe est redevenue verte, la rosée a perlée sur les branches et le ciel s’est dégagé. Un grand ciel devenu tout bleu d’azur, dans lequel les oiseaux se sont mis à chanter la fin de l’obscurité.
Un grand plaisir de contempler cette nature aux cent couleurs de l’automne. Pour la garder en moi, je n’avais pas pris d’appareil photo. Mais je la vois toujours.
C’est comme ton givre , à l’image d’une carte postale, pour qui tu as su t’arrêter et le regarder intensément.
Grosses bises et à bientôt
Christian.
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