Nicolas, Sinead, Tanya et Rachel, les mains à la tire
L’invention de la tire Sainte Catherine (dite tire à la mélasse) viendrait de Marguerite Bourgeoys, fondatrice de la Congrégation de Notre-Dame de Montréal. On dit que c’était sa façon d’attirer les jeunes indiens et les instruire d’où l’appellation « tire ». Selon l’historien jean Provencher, dans les 4 saisons de la vallée du Saint-Laurent, la dénomination viendrait tout simplement du fait que le mélange d’ingrédients à cuire, puis refroidi, est étiré (de préférence au froid) aussi vivement et aussi longtemps que possible.
Maman serait heureuse de savoir que sa petite-fille Cindy perpétue la tradition de confectionner de la tire à la mélasse le jour de la Sainte-Catherine, le 25 novembre.
Coucou ma cousine !
Une tradition qui ne sera pas perdue , Cindy l’apprendra plus tard à ses enfant et comme toi à ses petits-enfants , la tire .
Un bon moment en famille avant la Noël dans ton refuge et comme je t’envie ma cousine avec ta grande famille , je me répète . Ici la neige arrive en fin de semaine et je vais sans doute étrenner de belles mitaines chaudes . Bon lundi dans ton pays loin là-bas et des gros bizoux dans la cabane au Canada , la Fanfani !
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mes petites filles en ont mangé et se sont parait il regalées, c’est nouveau pour elles, quand j’irai j’y gouterai et y laisserai mon dentier sans aucun doute .
bises
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Bonjour Pierrette
Une belle transmission des savoir-faire dans une famille ! J’espère que les sourires de tes mousquetaires traduisent la joie qu’ils ont eu à mettre les mains dans la tire !!
Ton terme mélasse évoque pour moi un mélange brun, presque noir de résidu de sucre de canne, mélange qui contient de l’éthanol et dangereux.
J’ai souvenir d’un article d’une revue qui évoquait l’explosion aux USA d’une cuve de mélasse, avec l’avancée d’une coulée de pâte brulante comme une lave enrobant des chevaux et des hommes dans un piège mortel, comme des mouches sur un papier tue mouche. J’étais gamin quand j’ai lu ça, mais cela m’avais frappé.
Or ton produit est blanc. Coupé aux ciseaux, il ressemble aux berlingots de Carpentras, la couleur à part ! Les bonbons de cette ville sont multicolores, avec l’ajout de plusieurs tresses dans la « mélasse »
Merci pour cette page de vie familiale !
Je t’embrasse
Christian
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Mon cher Grillon, donne-moi le temps de déguster un croissant même à 18h00 de courir vers le cinéma pour voir Prénom car on nous dit que c’est drôle. Plus drôle que ton histoire d’éthanol. J’en parle à l’homme qui à première vue me semble perplexe. Il adore une « beurrée » de mélasse souvenir de son enfance, à l’heure de la collation après la classe.
Je lirai sur la boîte le contenu et t’en ferai part. La recette de fèves au lard que l’on savoure au petit déjeuner contient aussi de la mélasse.
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la tire à la mélasse est, malheureusement, inconnue dans nos collines gasconnes… ce qui ne nous empêche pas de nous retrouver parfois « dans la mélasse » pour ne pas dire pire encore!
bonne matinée
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Une jolie tradition qui se perpetue
Il doit y avoir de franches rigolades entre vous et après c’est le plaisir de la dégustation
Une belle journée commence pour vous alors qu’ici il va faire nuit tres vite
Bises à vous deux
Brigitte
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