UN SECRET BIEN GARDÉ

Je lis, je ris. Je relis, je pouffe de rire.  À rire et à lire vos commentaires et le feuilleton en train d’être rédigé avec humour et intrigue, je revis les moments inoubliables de notre deuxième bloguinade. Depuis notre retour qui fut mémorable et digne de la série « Juste pour rire », je suis vouée au silence. Il faudra bien qu’un jour, j’obtienne de l’homme, la permission de raconter, de fond en comble, notre périple rocambolesque de Besançon à Montréal, non! de Lyon à Montréal. Allons! rectifions, je dis bien de Besançon à Montréal. Le premier « circuit » du genre en 55 ans de mariage. Et pourtant, comme le Petit Prince nous en avons vu des couchers de soleil ou des clairs de lune.

Ce n’est pas grave pour autant, puisque le temps me manque et que nous sommes en orbite ou presque, depuis que l’avion « salvateur » s’est posé sur la piste Pierre Elliot Trudeau à la date inscrite sur notre agenda.

Une fois à bon port, à peine rentrés dans notre chez-nous de tout repos, il y eut l’annonce d’un décès inattendu. Celui de ma « vieille » et adorable cousine; puis, une visite attendue, celle de ma belle-sœur floridienne de 82 ans, qui a conduit son bolide en solitaire de Miami à Tremblant, (22 heures) dans le but de sillonner la province d’est en ouest et du nord au sud, rien de moins, prétextant que c’est son dernier voyage en Terre québécoise. Suivirent trois jours de golf intensifs, avec nos amis golfeurs de haut niveau, façon de changer le mal de place, aurait dit ma belle-mère qui, selon elle, n’avait jamais tort. Au bout du compte, l’arrivée de Monika accompagnée de sa maman et de sa sœur cadette allait nous remettre sur la route.  Cette visite nous l’attendions éperdument depuis son retour vers son pays natal, la Hongrie, il y a deux ans de cela.

Notre trio touristique au centre, entouré de Anthony, Sinead et de Tanya et Cindy L1040005-2.JPG

On se souviendra de la jeune étudiante qui a fait un séjour d’une année dans la famille de Cindy et Claude.

Comme tous les touristes du monde en visite chez nous, l’attachant trio voulait voir Montréal, Toronto, les Chutes Niagara, Tremblant pour revivre les meilleurs moments, la Vieille Capitale; son Château Frontenac haut perché sur le cap Diamant,  ses Plaines d’Abraham, théâtre de cette fameuse bataille du 13 septembre 1759, qui changea le cours de notre histoire; sa chute Montmorency nommée ainsi par Samuel de Champlain en 1603 en l’honneur de Charles de Montmorency, vice-roi de la Nouvelle-France; Sainte-Anne de Beaupré, sa basilique et ses miracles; la région de Charlevoix,

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sa Baie-Saint-Paul et son Massif, La Malbaie et son Manoir Richelieu, puis, à Saint-Siméon, la traversée du Saint-Laurent (80 minutes entre la mer et l’eau douce ou presque) pour enfin accoster dans la région du Bas-du-Fleuve, à Rivière-du-Loup, et remonter vers Montréal en passant, entre autres,  par le pittoresque village de Saint-Jean-Port-Joli, capitale de l’artisanat, criblée d’artistes, de peintres, de sculpteurs et de restos gourmands, faire halte à Montmagny fondée en 1646 berceau de notre chauffeur désigné (l’homme)  et également berceau de mes ancêtres les Couillard-Desprès et les Couillard de Beaumont.

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C’est sous une pluie torrentielle que nous avons « roulé » de Rivière-du-Loup à Montmagny connu pour le vaste refuge d’oiseaux migrateurs (outardes et sarcelles) et de là, à Montréal, où la métropole nous attendait avec ses 38 degrés torrides et son soleil de plomb réapparu pour nous accueillir.

Le lendemain nos touristes marathoniennes reprenaient la route vers New York, cette fois guidées par Cindy et Claude, Sinead et Tanya pour ensuite s’envoler vers Budapest et j’imagine, reprendre leur souffle.  Pour ce qui est des guides de fortune, ils rejoindront la tribu dans quelques jours, à Cap Hatteras, à 18 heures de route de leur coin de tout repos, pour y vivre supposément le farniente et respirer l’air du large.

Sous l’influence de la mer, du sable et du soleil, le fier Sicambre cèdera peut-être à mon ferme désir  de vous raconter de long en large ce retour au bercail cahoteux et imprévisible suite à une bloguinade inoubliable.

PREMIER AVRIL, MAISON À VENDRE

Vous êtes au travail. Au téléphone, c’est le jardinier paysager, celui qui a pris soin d’aménager votre terrain, de planter les arbres, d’entretenir votre pelouse et à chaque printemps, de voir à redonner vie à ce petit monde qui enjolive votre bercail durant l’été. Il a vu la pancarte devant votre maison annonçant qu’elle est à vendre.

Il s’explique mal que vous ne l’ayez pas prévenu avant de faire affaire avec un agent immobilier. Il vous aurait fait une offre valable.  Acheter votre maison l’intéressait.

Un deuxième appel, cette fois de votre voisine. Elle veut savoir ce qui se passe. Pourquoi voulez-vous déménager? Elle s’inquiète, veut savoir ce qui ne va pas. Elle vous reproche à son tour de ne pas lui en avoir annoncé tout bonnement vos intentions.

Puis, au tour d’une amie qui demeure à deux coins de rue. Toujours la même question. Pourquoi as-tu mis ta maison en vente? Tu ne l’aimes plus. Tu nous quittes. Pourquoi ce secret et tout à coup une pancarte.  On vous soupçonne de cacher vos intentions.

Vous avez beau vous évertuer pour les convaincre que votre maison n’est pas à vendre, que c’est impossible qu’il y ait une pancarte, que, loin de vous l’idée de partir après 36 ans de bon voisinage. Tous vous répètent la même chanson. On vous reproche votre geste. Que fait la pancarte alors?

Vous ne pouvez plus vous concentrer, travailler. . Votre office est à cinq minutes de votre maison. Vous décidez d’aller vérifier de visu si, véritablement, il y a une pancarte et si? quel agent de malheur a fait erreur.

La  « malvenue » est bel et bien là, plantée sur le talus. Vous voilà déboussolée.  Quelqu’un s’est trompé. Vous avez beau ne pas croire ce qui arrive, vous éprouvez quand même un « petit » état de choc.  Au même moment, Lawrence, votre malin de fils attendant en vainqueur ce moment sublime vous rejoint sur votre portable pour vous dire : Poisson d’avril!  Il avait tout machiné avec les uns et les autres pour monter le coup. Même l’homme de votre vie jouait le jeu.  Pour une fois on peut dire que « l’arroseure est arrosée ».

 

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Dessin de Tanya offert à son grand-papa en 2005

Ce matin du premier avril 2011, une fois de plus, vous ferez courir le poisson d’avril à ceux que vous aimez.

LA MÉMOIRE DES OBJETS

 

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Si c’était le printemps. Voilà ce qu’a voulu me rappeler cette fleur d’hibiscus qui a fleuri à deux pas de moi, dans mon petit coin d’écriture tremblantois. Elle l’a fait intentionnellement, j’en suis certaine, et cela, pour vous saluer, vous dire bonjour et bonne semaine.

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Ici, aujourd’hui, c’est le calme après la tempête, nous abandonnant dans un décor féérique, digne d’une carte postale. Les oiseaux sont revenus. Les arbres enrubannés de neige folle ont des allures de fêtes. Une splendeur!

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Julien, à petits pas, découvre la douceur de la vie de famille au refuge des aïeuls.

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Coïncidence ou pas, en aucun moment, j’avais songé, que dans quelques heures, on célébrerait la Journée internationale de la femme, lorsque j’ai brandi, de mon coffre aux souvenirs, cette petite machine à coudre reçue à l’occasion de mon sixième anniversaire de naissance, il y a de cela des Lunes.

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L’objet regorgeant d’anecdotes et de souvenirs, à mon grand étonnement, a connu un succès bœuf chez les gars, tandis que les filles, moins tournées vers les arts ménagers, expérimentaient allègrement l’intensité de la flamme du chalumeau.

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Témoin de ces images à croquer sur le vif, la grand-mère y trouve là un sujet d’émerveillement et de réflexion à partager.

LE COEUR COMME UNE FAÏENCE BRISÉE

Bon dimanche à tous,

En ce beau dimanche ensoleillé, je ne peux même pas vous offrir, la plus modeste des photos. Ma boîte à photos est sans dessus dessous.  Je voulais terminer mon album de la Sait-Valentin.  Pas moyen! Je n’y ai même pas accès. Horrible.  Je devrai avoir recours à l’homme pour qu’il restaure presqu’un cœur brisé.

Tout ce que je peux faire, c’est de vous dire un petit bonjour, vous souhaiter une excellente semaine.

Aussi, vous faire part de ce que j’ai lu sur la carte d’un atelier de réparations de porcelaine, de verre, d’objets précieux. « NOUS RESTAURONS TOUT…SAUF LES CŒURS BRISÉS » Preuve que même en affaire on peut avoir un petit côté poétique. N’est-ce pas que c’est joli? Ça me rappelle la très belle chanson intitulée : « Le raccommodeur de faïence et de porcelaine. » Tenez, pour me consoler de mon désastre photographique je vous livre les mots de la chanson.

Le raCCOMODEUR DE FAÏENCE ET DE PORCELAINE

– 1 –
Dans un des plus beaux quartiers de Paris
Aux Champs-Élysées, près de l’avenue
Un bonhomme hirsute aux longs cheveux gris
Va, déambulant à travers les rues
Machinalement tout en inspectant
À chaque fenêtre, anxieux il s’arrête
Bougonne ou sourit et part simplement
Faisant résonner bien haut sa trompette
Il joue ses airs les plus jolis
Et chante ce refrain de Paris:

Refrain
Je suis le raccommodeur
De faïence et de porcelaine
Raccommode objets de valeur
Choses modernes, choses anciennes
Je répare bien des malheurs
Ainsi j’évite bien des peines
Je suis le raccommodeur
De faïence et de porcelaine.

– 2 – (Non chanté ici)
Ah! mon bon monsieur! vite, sauvez-moi
Lui dit un gamin aux belles joues roses
Je viens de casser, voyez mon émoi!
La belle poupée de cousine Rose
J’adore cousine et ne voudrais pas
Lui causer ainsi une peine immense
Pouvez-vous, monsieur, réparer le bras?
Pour moi ce joujou a tant d’mportance!
Prenant l’objet, l’examinant,
L’brave homme dit alors souriant:

Refrain 2 (Non chanté ici)
Je suis le raccomodeur
De faïence et de porcelaine
Va, mon p’tit gars, sèche tes pleurs
Puisque j’suis là c’est une aubaine!
Je vais réparer ce malheur
Je ne veux plus te voir de peine
Je suis le raccomodeur
De faïence et de porcelaine.

– 3 –
Un jour il advint qu’un petit gamin
Guettait l’artisan au coin de la rue
Dès qu’il l’aperçut, loin sur le chemin
Il courut à lui et dit, l’âme émue:
Monsieur, petit père a dit ce matin
À maman chérie qui pleurait sans cesse
Tu as brisé ma vie et de tous liens
Tu as brisé mon coeur et pris sa tendresse
Pour que maman sèche ses pleurs
J’vous en prie monsieur, v’nez vite
Raccommoder leurs coeurs.

Refrain3
Je suis le raccommodeur
De faïence et de porcelaine
Mais pour raccommoder le coeur
De ton papa, ma science est vaine
Pour réparer ce grand malheur
Toi seul as ce pouvoir suprême
Moi, je ne suis qu’un raccommodeur
De faïence et de porcelaine.


Paroles: Dedcoq – Musique: Raoul Soler
Interprète: Anny Flore (1959)

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LA CRÈME BRÛLÉE,

C’est comme ça qu’ça passe dans l’temps des fêtes…

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Le refuge est propice aux célébrations de toutes sortes et aux  rencontres enjouées.

« Demain, les filles (ce sont les petites-filles) nous feront de la crème brûlée avez-vous proposée en ajoutant, “nous étrennerons le joli brûleur à crème brûlée gentiment offert par les amis venus fêter la nouvelle année.»

Nous avons fait cuire la préparation : tenez-vous bien! Une double recette : 12 œufs, 900ml de crème, sans compter le sucre et la vanille. Nous avons fait refroidir le tout comme indiqué. Et aujourd’hui, ce fut la deuxième étape : brûler la crème avec l’engin à flamme.

Dimanche, seize heures. Les “demoiselles crème brûlée” s’amènent « tout feu toute flamme »  pour la cérémonie en question. Pour une première, ce fut un franc succès. Ici on ne parle pas de calories. On ira skier pour les brûler.

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C’est Nancy qui a cassé les douze oeufs

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Tanya à son tour donne de la couleur à la crème

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Sinead, et son doigté de grand chef

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Guillaume se joint aux filles, pourquoi pas?

 


 

Les Saintes Écritures

Un homme accablé de problèmes décide de se pendre.

Il accroche une corde à une branche d’arbre, puis monte sur un tabouret.
Il passe sa tête dans le noeud coulant et s’apprête à sauter, lorsqu’un brave
curé qui passait par là lui crie :

– Arrêtez, arrêtez ! Ne faites pas ça, mon fils ! Songez que Dieu nous a donné la vie !
Quels que soient vos soucis et vos peines, vous trouverez force et réconfort dans les
Saintes Ecritures. Tenez, je vous donne ma Bible. Ouvrez-la à n’importe quelle page,
et suivez les sages conseils qu’elle vous donne ! ! !

Le curé s’éloigne. L’homme se dit que cela vaut peut-être la peine d’essayer.
Il se libère de la corde et descend du tabouret.
Il prend la Bible, l’ouvre au hasard et lit :

« Repens-toi ! »

Gràce à ma bonne amie Céline, je vous livre cette anecdote qui est « cute ».

LA CHARITÉ…

Ce matin, en ouvrant  mon ordi, je trouve cette  note  que m’a fait parvenir Céline, une amie de longue date.  Je vous l’offre souhaitant vous voir sourire.

 

Il était une fois un homme qui travaillait au Bureau de poste. Son travail consistait à traiter le courrier qui était mal adressé ou dont les adresses étaient inexistantes.

Un jour, il eut à traiter une lettre adressée d’une main tremblante à Dieu. Comme il ne pouvait pas la traiter, il pensa trouver une adresse de retour à l’intérieur. Il l’ouvrit et lut :

Cher Dieu,

Je suis une vieille veuve de 93 ans, qui vit sur une très petite pension. Hier quelqu’un m’a volé ma sacoche. Il y avait 200 dollars à l’intérieur; c’était le seul argent qui me restait jusqu’à mon prochain chèque de pension.

Dimanche prochain, ce sera Noël, et j’avais invité deux de mes vieux amis à souper. Sans argent, je suis maintenant incapable d’acheter de la nourriture pour les recevoir. Je n’ai pas de famille qui puisse m’aider, vous êtes maintenant mon seul espoir.

S.V.P. pourriez- vous me venir en aide ?

Sincèrement,


Edna
66, rue Jean-Talon apt 2,
48310 Villois


Le travailleur postal fut très touché. Il montra la lettre à tous ses confrères du bureau de Poste.
Chacun d’entre eux mit la main à sa poche et donna quelques dollars. Après avoir fait la tournée du bureau, il avait amassé 180,00$.

Fier de son coup, il en mit le contenu dans une enveloppe et la fit livrer à l’adresse de la vieille dame. Pour le reste de la journée, tous les employés ressentaient un bien être intérieur d’avoir contribué à un beau geste de générosité.

Noël vint à passer et quelques jours plus tard, une autre lettre apparut, adressée à Dieu, encore écrite par la vieille. Tous les employés s’attroupèrent autour du bureau de l’homme alors qu’il ouvrait la lettre. Il était écrit :

Cher Dieu,

Comment pourrais-je vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour moi ?
Grâce à votre geste de générosité et d’amour j’ai pu recevoir dignement mes deux amis en leur préparant un magnifique repas de Noël.

Ce fut une très belle journée et j’ai avoué à mes amis que si la chose a été rendue possible, c’est grâce à vous et au beau cadeau que vous m’avez fait.

Au fait, il manquait 20,00$ sur le montant. J’ai bien peur que cela ait été volé par ces en..lés d’employés du Bureau de Poste !

 

FAIT INTÉRESSANT

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En octobre 2010 :
Ce mois d’octobre comporte 5 vendredis, 5 samedis, et 5 dimanches, tout ça en un seul mois.
Cela n’arrive qu’une fois tous les 823 ans. On considère que ces mois sont des mois qu’on appelle “sacs d’argent”.

Je remercie Andrée, ma charmante belle-soeur, d’attirer notre attention sur le sujet.

Je souhaite à tous un excellent weekend rempli de soleil et d’amitié.

la recherche de son chapeau

Une histoire de « mononcle » qui est adorable.

Mon oncle a perdu son nouveau chapeau et il a passé des jours à le chercher.
N’ayant pas les moyens de s’en acheter un autre, il décide d’aller à l’église, dimanche, et d’en voler un pendant la messe.
Le dimanche, il se rend à l’église et s’assoit à l’arrière. Pendant le sermon, le curé parle des 10 commandements.

Au lieu de voler un chapeau, comme prévu, il rencontre le curé. » Monsieur le curé, je suis venu ici aujourd’hui voler un chapeau pour remplacer celui que j’ai perdu.Mais après avoir entendu votre sermon sur les 10 Commandements, j’ai changé d’avis. J’aimerais vous remercier. 
Soyez béni mon fils. Est-ce que vous avez changé d’avis quand j’ai commencé à prêcher sur le  » Tu ne voleras pas ton prochain  » ?
Non, c’était sur le commandement portant sur l’adultère. Quand vous avez commencé à prêcher sur ce sujet, je me suis souvenu où j’ai laissé mon chapeau !
« 

Je ne voulais pas terminer la journée sans vous faire un petit Coucou, vous souohaiter une bonne nuit et vous dire:. À demain si l’inspiration revient.

UN RÊVE RÉALISÉ

 

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Ah non! Pas encore un soubresaut de l’hiver avec sa pluie verglaçante, et ses bourrasques de vent? Il neige à Tremblant, il pleut à Montréal. Partout, le temps est chagrin.

 

Tiens, pourquoi ne pas vous faire voir « l’arrivée officielle » d’une passagère de « skidozer » heureuse de terminer sa saison de ski, en réalisant un rêve.

 

Depuis cinq ans, chaque hiver, je rêve de faire une balade en « skidozer ». Vous connaissez?

Le mastodonte est une énorme chenille munie d’une surfaceuse et d’une dameuse ayant pour mission l’entretien des pistes : les surfacer et les damer pour les rendre agréables à skier et donner l’impression que vous dévalez sur des tapis de neige.

 

Il faut voir « l’engin » escalader la montagne, atteindre le sommet et redescendre à la verticale.

Débile dirait Jean-Claude, responsable de l’équipe des moniteurs

de Ski Bon Âge.

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C’est grâce à ce dernier, d’ailleurs, si j’ai pu vivre ce moment tant désiré.

 

Merci également à l’opérateur qui a conduit d’une main de maître le Bombardier apprivoisé, obéissant à la moindre commande.