« Un vieillard qui meurt, c’est une bibliothèque qui brûle » ce proverbe est attribué à Amadou Hampâté Bâ, écrivain, diplomate et ethnologue malien, extrait de son discours prononcé en 1960 à l’UNESCO. Ref : Sandro CAPO CHICHI nofi.fr.
Aujourd’hui, ce proverbe africain, mille fois répété, n’a pourtant rien à voir avec cette rencontre amicale de treize amis; hommes et femmes, d’un âge certain, en chair et en os: artistes, écrivains, créateurs, fondateurs, bâtisseurs; nonagénaires par surcroît ou presque ; réunis pour célébrer le quatre-vingt-seizième anniversaire de l’une des leurs : Marcie, accompagnée de Vincent son époux, bras dessus, bras dessous, évoquant cœur à cœur, une vie à deux, échelonnée sur 72 ans de mariage.
Fait émouvant et digne d’attention : Plus de mille années. (1050 ans précisément), bien comptés, souligne la somme des âges de treize parcours de vies d’exceptions, réunis coude à coude autour d’une même table.
Vous me direz? et vous avez raison. Ce proverbe a pourtant très peu à voir avec chacune et chacun, lorsque l’on relate leurs connaissances, ce qu’ils ont vu, vécu, surmonté, accompli et gravé à jamais dans leur mémoire, les souvenirs.
« De la charrue à la Tesla », dirait mon cousin pour résumer leur vie à cœur battant sur les chemins parcourus. De beaux récits pour les générations futures.
On se comprend?
Encore un superbe article ma Pierrette.gros bisous à tous ces nonogénaires que leur vie soit encore longue.
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Une belle note comme j’aime et comme je comprends fort bien!!
Gros bisous du Berry les amis !!
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Magnifique article Pierrette, et que c’est beau cette assemblée de nonagénaires, et quel joie pour les couples qui vivent encore ensemble ….Une longue vie pleine de souvenirs… sans doute
Bon lundi à vous tous
Bisous
Anita
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